Je sais ce que vous allez me dire. Le vieux dicton qui veut qu'en avril on ne se découvre pas d'une pelote est bien joli mais le mois de mai était censé, lui, faire ce qu'il me plaisait.
Au lieu de ça, le mois de mai m'a obligée à rallumer ma cheminée, en plus de donner à ma pelouse l'illusion d'une humidité tropicale dont elle a fort bien profité, et je ne pouvais pas la tondre, puisque, eh oui, il pleuvait, et que ma tondeuse est électrique.
Tout ça pour vous dire que Charlotte a pris dernièrement des photos de chez moi pour montrer à sa grand-mère (coucou belle-maman), alors avant de passer à un poste plus "boulot et peinture", je vais vous montrer mon jardin. Hop.
Ci-contre, le pommier que Skarbimir et Charlotte ont planté en début d'avril dernier. Vaillamment, lui et son pote le prunier à quetsches planté par les enfants aussi, font des bourgeons et des feuilles. Pour les fleurs et les fruits, je ne compte pas trop sur cette année, mais j'ai hâte!
L'arrière de la maison, avec le petit débarras, et ma réserve de bois bigrement écornée par ce damné fichu printemps.
Voilà le devant de la maison. J'ai un peu l'air d'habiter dans un coin paumé comme ça, mais sincèrement, ce qu'il me faut avant tout pour travailler convenablement, c'est du calme.
La dernière fois que les enfants sont venus ensemble, il a fait un temps à peu près superbe (pas toute la journée, mais bon), et Skarbimir a été assez mignon pour me tondre la pelouse.
(Pendant que Charlotte n'a pas pu s'empêcher de prendre des photos).
Promis, dès demain je reprends les articles peinture!
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